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Dolorosa Soror par l'auteur Florence Dugas

BOO-576
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Florence Dugas, l’auteur, a puisé dans ses propres expériences pour conter une cruelle passion amoureuse. Le talent et la fluidité de l’écriture font de Dolorosa Soror un récit captivant au rythme haletant. ZAZA a rencontré interviewé et photographié Florence Dugas pour sa revue Dresseuse, lisez l'interview inédite ici ! Ce livre est un des meilleur texte de la littérature érotique (version soumission féminine) de tous les temps au même titre que Histoire d’O en raison de son caractère autobiographique à fleur de peau qui rend chaque situation encore plus tactile et réelle. À 19 ans, que sait-on de l’amour ? Florence rencontre JP qui lui fait découvrir son attirance pour la soumission. Dans l’humiliation et la douleur, dit-elle, il y a l’extase. Avec son Maître et mentor, Florence entraîne Nathalie dans un amour sans concessions. Cette histoire est intense, dure, souvent difficilement supportable mais Florence Dugas a écrit un texte total d’une puissance inouïe. Dolorosa Soror est un des romans les plus marquants de la littérature française. Lecture à réserver à un public très averti, Dolorosa Soror révèle l’immense force érotique du désir d’une femme. Voici un entretien avec Florence Dugas, réalisé par ZAZA, pour Dresseuse N°2 (vous pouvez acheter les anciens numéros de la revue de ZAZA en vous rendant dans la rubrique Revue de ZAZA ou bien vous pouvez venir feuilleter et acheter les anciens numéros de la revue Dresseuse dans notre boutique à Nantes La boutique de Zaza). - Où se situe la frontière entre le désir de dominer et le désir d’être dominée ? - Ce sont deux désirs qui se regardent mais ne se touchent pas. Deux désirs parallèles. Le miroir et son reflet. L'un n'existe pas sans l'autre, pourtant jamais ils ne se touchent - sinon aux infinis, du côté de l'amour, du côté de la mort. - Dolorosa Soror est parfois extrêmement violents. Le plaisir est-il toujours présent ? - Là où il y a de la peine, il y a toujours du plaisir. Toute plaisanterie à part, si vous fouettez quelqu'un gentiment, et qu'il y prenne du plaisir, comme cela est probable, vous stagnez dans un solipsisme soft. C'est dans le désespoir de la souffrance que vous produisez quelque chose de neuf, d'inédit. - Les châtiments corporels sont très souvent utilisés. La douleur qui en résulte est-elle un but ou un point de passage ? - De l'extérieur, la douleur est spectacle. De l'intérieur, elle est rachat. "Je suis la plaie et le couteau". À un certain niveau de douleur, vous ne pouvez continuer à vivre qu'en vous regardant de l'extérieur - comme un insecte intéressant qui crisserait sous le soleil. En même temps, ce regard désintéressé est si proche de la tentation suicidaire que seule une plus grande douleur peut vous forcer à revenir à la réalité - et plus loin dans la fiction. - Dans votre livre, l’humiliation ne semble pas être une composante essentielle des jeux de domination ? - L'humiliation imposée est une manie d'impuissant. Quand elle est demandée, elle ne vise, au fond, qu'à enfoncer le "Maître" dans sa nullité - en le rassurant. L'intention est dans l'intention bien plus que dans l'action, et celui qui a l'intention d'humilier est peu de chose. Pour mettre les points sur les i : quand vous sucez la queue grumeleuse de merde qui vient de vous défoncer le cul, j'espère que c'est par gourmandise, et non par désir d'humiliation, pour faire croire à ce mâle maladroit qu'il vaut mieux que la merde qui vous emplit les tripes. - Votre définition de la domination ? Amour, exutoire, expérience corporelle, mortification, bonheur... - Tout cela, et aussi maîtrise de soi, expérience littéraire, auto-thérapie… Narcissisme… Altruisme… Au passage, toute énumération est paresse de trouver le mot juste. - Et l’autodestruction ? - C'est l'exagération de l'esprit critique. Mais sans esprit critique, vous ne valez pas même la peine de vous détruire. - Qu’est ce qui est le plus excitant : le frisson du danger, l’instant du danger, la trace du danger ? - Le frisson est l'attente de l'instant, l'instant l'espoir de la trace, la trace le souvenir du frisson. Play it again, Sam. - Vous avez aimé Rosanna Arquette dans “Crash” ? - C'est un loukoum pré-sucé. Vraie maigre à structure molle. Je préfère Holly Hunter. Pas vous ? - Vous êtes professeur de théâtre. Au sein du théâtre occidental, le metteur en scène contrôle ses acteurs, il les dirige, il les modèle peu à peu pour obtenir exactement le jeu désiré. On retrouve fréquemment cette même progression dans les rapports de domination mais, très souvent, les personnages de vos livres dérapent, ils s’échappent de la mise en scène, ils échappent à eux-mêmes. Folie ou liberté ? - Living theater… Le film ne réussit que lorsque l'acteur, comme on dit, crève l'écran - ou en sort. Que vaut un acteur qui n'étonne pas son metteur en scène ? On ne dirige que pour sentir l'autre vous échapper - ou vous manipuler, comme il arrive le plus souvent. - Dans vos deux romans, les jeux avec l’urine sont décrits avec élégance et bonheur. Un nectar méconnu ? - Pourquoi méconnu ? - Le désir de bisexualité dissimule-t-il le désir d’être androgyne ? - S'il le dissimule, il l'exhibe, forcément. - Qui manipule qui ? Le Maître ou la soumise ? - Hegel a écrit là-dessus de bien pauvres choses. La manipulation, dialectique en rond. Désir attrapé par la queue. Personne ne manipule, sauf impuissance à aimer. Pensez plutôt à un duel qui sans cesse flirterait avec la blessure - narcissique. - Quel sentiment désirez-vous susciter chez vos lectrices et lecteurs : de l’amour, du désir, une excitation, une réflexion... - L'envie d'en lire / vivre davantage. - Pourquoi ces références incessantes à des auteurs ? - Je cache tous mes cadavres dans ma bibliothèque. Alors bien sûr, parfois, ça suinte. - Vos projets d’écrivain ? - Écrire le livre que j'ai envie de lire. Morceau choisi : “Elle est allée à la commode où je range mes affaires et mes colifichets, elle a fouillé rapidement, et elle est revenue à moi avec un long foulard de soie. - Allonge-toi sur le lit... Non, sur le dos... Elle a pris mes poignets, les a noués ensemble, puis aux barreaux - juste comme je l’avais si souvent attachée moi-même. Elle m’a enjambée et a posé son ventre sur ma bouche. - Lèche-moi... Sa voix était tout aiguisée, déguisée de froideur. Et pendant que je la caressais, elle n’a pas cessé de parler. - Mieux que ça... Enfonce ta langue... Plus profond... Reviens vers le bouton maintenant... Non, pas si fort... Ne tire pas sur l’anneau comme si tu voulais l’arracher. Je n’ai pas envie que tu me fasses mal, aujourd’hui... Toi, tu vas avoir mal, Flo... Je sais, tu as horreur qu’on t’appelle Flo. Lèche-moi le con - mieux que ça... Attends, que j’écarte mes fesses... Enfonce ta langue - plus profond que ça... Plus dure, ta langue... Bien au fond... Elle mouillait énormément, comme toujours, mais j’avais beau guetter une cassure, une inflexion différente dans sa voix - en pure perte : toujours cette même maîtrise glacée, ces ordres nettement articulés avec les mots les plus précis dont elle pouvait disposer... - Tu es nulle, ma pauvre fille... On ne t’a jamais dit que tu étais nulle ? Il m’en a fallu de l’imagination pour que tu me fasses jouir, jusqu’ici. Pauvre petit pédé sans bite ! Ça se fait enculer, et après ça fait la moue pour sucer sous prétexte que ça sent la merde... Qu’est-ce que tu diras tout à l’heure quand je t’en ferais manger ? Putain ! Pauvre putain ! Lèche-moi mieux que ça... Je t’ai payée, non ? Elle s’est dégagée et, debout près du lit, elle s’est penchée vers moi. - Tu ne vaux pas le coup, a-t-elle dit. Dans un angle de la chambre, elle est allée chercher la longue cravache noire, et elle est revenue sur moi en l’éprouvant dans sa paume. - JP t’a déjà frappée avec ça, non ? Et elle l’a abattue à toute volée en travers de mes cuisses. J’ai hurlé - qu’est-ce que j’aurais pu faire d’autre ? J’ai hurlé à chaque coup, et ça n’a pas du tout eu l’air de l’émouvoir.” Second morceau choisi : “Plan suivant : je suis assise sur le bord du lit, Nathalie est à genoux entre mes cuisses ouvertes. Je me penche, je la prends par les cheveux, à pleines mains, pour relever son visage, je l’embrasse avec passion, et je lui dis que je l’aime. Et, mes yeux dans les siens, je lui pisse sur les seins. Le jet rebondit sur mes genoux et mes mollets, se répand sur le carrelage, cerne mes pieds. L’odeur forte de l’urine monte vers nous. Elle dégage son visage de mes mains, se penche et vient boire les dernières gouttes à la source. Deux jours plus tard, nous étions habillées, prêtes à sortir. Je l’ai appelée alors qu’elle tenait déjà le loquet de la porte. - Nathalie ? - Oui ? - Viens ici. Mets-toi à genoux, s’il te plaît. J’ôte mon slip, retrousse ma jupe et colle mon sexe contre sa bouche déjà entrouverte. Puis, délibérément, je pisse. Elle n’en perd pas une goutte. C’est devenu un jeu entre nous. Souvent - et dans les lieux les plus incongrus, ou impromptus, une porte cochère, un jardin public, ou entre deux voitures en stationnement, je l’ai ainsi humiliée - ou honorée, comme on voudra. Je me rappelle particulièrement un soir, sur le quai de Béthune, au bout de l’île Saint-Louis. Un haut lieu de la drague homo. Il y a là un lampadaire, et c’est aussi l’endroit où virent les vedettes qui promènent les touristes sur la Seine. Elle m’a adossée au lampadaire, pendant qu’un bateau plein de projecteurs et de voyeurs virait à vingt mètres de là, et elle m’a bue, longuement, amoureusement.” Troisième morceau choisi : “Un après-midi... J’avais tellement envie d’elle, j’avais tant espéré qu’elle vienne que je lui avais sauté dessus dès qu’elle était entrée, et elle s’était laissé renverser sur le lit en riant. J’ai retroussé sa jupe, ôté son slip d’un mouvement autoritaire... La dentelle noire était gluante de sperme frais, tout comme son sexe et son cul. Je levai la tête. - Qui est-ce ? - JP, dit-elle. À la fac. Sur une table, entre deux cours. Sans même fermer la porte à clef. Il m’avait prise de même, une fois, allongée sur un bureau, mes chevilles sur ses épaules, ma jupe remontée sur la taille, mon slip en berne au talon de mon escarpin - et lui passant, l’air insouciant, de mon ventre à mon cul... Il le faisait souvent, et j’essayais à chaque fois de deviner où il allait jouir, de le provoquer même, par des contractions des sphincters, une succion du ventre, pour lui interdire de repasser à côté, de me faire languir encore, jouis donc où tu veux mais jouis ! J’avais l’impression, avec Nathalie ouvrant ses cuisses devant moi, qu’il avait trouvé les ressources d’éjaculer à la fois dans son con et dans son cul. Je la giflai, pour le principe, puis j’eus honte tout de suite, lui demandai de m’excuser, la pris dans mes bras... Ce fut l’une des seules fois où elle prit le pouvoir, brièvement. Elle s’assit sur moi, enserrant mon visage entre ses cuisses, et me fit lécher et son sexe et son cul, longuement, m’enjoignant de ne rien perdre, de ne rien oublier, d’enfoncer ma langue au plus profond... Son ventre avait un goût de varech.” Ce livre est livré en 48 heures (jours ouvrables) par la boutique de ZAZA laboutiquedezaza.fr la célèbre librairie érotique en Bretagne. Vous pouvez aussi venir acheter ce livre dans notre très discrète boutique à Nantes près de la gare. 180 pages.

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