Un homme livre les secrets de son arrière-boutique. Il révèle les aventures érotiques qu’il a connues dans l’arrière-boutique de son magasin, souvent avec des clientes, parfois avec des étudiantes. Le huis-clos de l’arrière-boutique est propice à créer une tension sensuelle, les étudiantes jouant avec leurs tenues et leurs attitudes pour focaliser l’attention de l’antiquaire. L’auteur raconte comment l’une d’elles avait pris l’habitude de porter une jupe courte et de s’asseoir jambes décroisées en offrant une vue vers son fond de culotte : l’étudiante se nourrissait jour après jour d’observer une bosse se former dans le pantalon du propriétaire de la boutique. Ainsi Nicolas Marssac dépeint dans L’arrière-boutique un univers élégant et feutré... où naissent pourtant d’étranges désirs.
Morceau choisi : “D’abord pétrifié, je me relevais et remis un peu d’ordre dans ma tenue, avant d’entrer dans l’arrière-boutique. Sophie leva les yeux vers moi. Son visage, transformé par la luxure, n’était plus celui de la jeune intellectuelle quelque peu perverse auquel j’étais habitué, mais celui d’une femme qui brûlait de l’ardent désir de jouir de son corps.
- Assieds-toi et regarde-moi. Je veux te voir te branler, moi aussi.
La crudité du langage, surtout venant de Sophie, fut un stimulant supplémentaire à ma lubricité. Je m’assis à ma table, dégrafais largement mon pantalon et ouvris mon slip, pour mieux libérer ma tige et ses attributs. Mon sexe avait repris sa roideur et se dressait sur mon ventre. Je décalottais lentement le gland, en regardant ma jeune disciple, tandis que l’autre main massait les testicules. J’imprimai un mouvement de pompe à la main qui enveloppait la hampe, de plus en plus vite, et le gland, devenu rouge, se mit à luire. Sophie, les yeux rivés sur mes mouvements, avait recommencé à se caresser, des deux mains, et je voyais un peu de sa liqueur d’amour sourdre de sa jolie moule. Cette masturbation voyeuse était un stimulant aussi puissant que si nous nous étions caressés mutuellement. Bientôt, nos mouvements s’accélérèrent, nos respirations devinrent oppressées. Sophie se mit à gémir, en cadence, d’abord doucement puis de plus en plus fort. Soudain elle cria, brièvement, son corps entier se tendit, le mouvement de sa main sur son clitoris devenu très rapide. Devant ce spectacle insoutenable de lubricité, je jouis, répandant mon sperme sur le sol.”
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164 pages.
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