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Enjeux d’amour - Livre d'une Française soumise et de son Maître

BOO-17
25,00 €     en stock en stock    

Yo est une femme, Gaël est un homme. Depuis une dizaine d’années, ils vivent une relation amoureuse sublimée par leurs jeux de soumission. Dans un très beau récit intitulé Enjeux d’amour, ils relatent leur passion sadomaso sous la forme d’un captivant concerto littéraire à deux écritures. Yo raconte, Gaël raconte, parfois leurs histoires s’entrecroisent, d’autres fois elles se complètent. La découverte, la progression, les mises en scène, peu à peu les fantasmes se concrétisent dans un feu passionnel, véritable hymne au désir. Yo se révèle plutôt docile, Gaël devient le chef d’orchestre de leurs pulsions. De la première rencontre où Yo est offerte à une femme inconnue, aux plus récentes aventures où Gaël demande à sa partenaire un total don de soi, le couple nous décrit son étonnant itinéraire sulfureux. Avec un style fluide et des mots justes, Enjeux d’amour ne se contente pas d’être une succession d’expériences sadomasochistes rares, Yo et Gaël analysent leurs envies, leurs sensations et leurs émotions. Résumer une décade de soumission féminine en 140 pages est un exercice difficile, voir impossible, mais, même si les ellipses de leur vécu peuvent surprendre des lecteurs néophytes, le livre est incontestablement une réussite. Ils ont une quarantaine d’année, ils ont la beauté de leur amour, leurs regards et leurs sourires témoignent d’un merveilleux bien-être et d’une évidente complicité. Ils venaient de quitter les studios de France Inter où ils avaient participé à Zinzin, consacrée ce soir-là au thème de l’érotisme ; après l’émission Yo et Gaël nous ont accueillis, ils ont répondu aux questions de la revue fétichiste française Dresseuse. Rencontre enchanteresse avec un couple uni par les liens non sacrés des plaisirs sadomasochistes, Yo et Gaël. Dresseuse s’adresse à Yo - “Enjeux d'amour”, quels sont les enjeux ? Yo - Nous voulions faire apparaître dans le titre de notre livre les mots “Jeux” et “Enjeux”. Le mot “Jeux” qui rassure, et le mot “Enjeux” qui engage. En effet, il y a des enjeux : celui de tisser dans nos séances un lien si fort qu'il nous dépasse, celui de me montrer plus nue que nue, celui de découvrir chez moi et chez Gaël des zones d'ombre imprévues… Dresseuse s’adresse à Gaël - Vous décrivez votre rôle comme celui d'un organisateur. Gaël - Oui, je me vis comme un “metteur en scène” de fantasmes. Parfois, ces scénarios sont les miens. J'ai toujours été très voyeur. Mais d'autres jeux ont été mis en scène pour Yo, parce que je savais qu'elle avait envie d'être exhibée dans un lieu public par exemple, ou mise à la disposition de plusieurs hommes à la fois… Je passe donc beaucoup de temps à rêver d'une situation, puis je passe à l'action : trouver les partenaires, un lieu inhabituel, lui distiller un minimum d'information afin que la peur s'installe. Un jeu bien réussi est bâti comme un bon polar : une intrigue, quelques fausses pistes, un suspens qui monte et, si tout va bien, un grand feu d'artifice final. À Yo - Vous aimez obéir à Gaël, pourquoi ? - À cause de lui : c'est avec moi que Gaël a développé son pôle dominateur ; je pense que je l'ai aidé à se révéler. Quand il me donne un ordre, il me donne en même temps une très grande preuve d'amour. À cause de moi : quand j'entends un ordre venant de Gaël, quelque chose s'ouvre en moi, une disponibilité, une envie de lui montrer mon amour, et aussi une réelle excitation - ce mélange de dureté dans l'intention et de douceur dans sa voix me fait mouiller instantanément -. À Yo - Aviez-vous déjà ressenti ce désir d'être soumise avant de rencontrer Gaël ? - Pas vraiment. J'avais, comme beaucoup de femmes, le fantasme d'être obligée, forcée, mais je n'avais aucune intention de le réaliser. Nos premiers jeux avec Gaël étaient variés, et je prenais parfois la position de dominatrice. Mais peu à peu, avec lui, ma position de soumise s'est imposée. Ce fut une grande découverte pour moi, car je connaissais surtout mon côté féministe et indépendant, et pas du tout cette autre facette. À Gaël - Pourquoi avez-vous fait intervenir une femme lors de votre premier jeu avec Yo ? - Nous nous connaissions depuis plusieurs années. Moi, de mon côté, j'avais déjà organisé ces jeux pour d'autres femmes, dont celle que je lui ai amenée ce jour-là. C'était une mise à l'épreuve : “ Tu acceptes ou tu craques, au moins nous serons tout de suite fixés ”. À Yo - Aviez-vous déjà éprouvé un désir lesbien avant la première étreinte dirigée par Gaël ? - Du désir, oui, mais je l'avais toujours coupé ou enfoui. En m'amenant une femme lors de nos premiers jeux, Gaël a fait fort ! Heureusement que j'avais les yeux bandés, c'est ce qui m'a permis de rester. Ce soir-là, la peur était bien plus forte que le désir, mais cette séance a dû débloquer quelque chose, et j'ai eu depuis quelques relations sexuelles avec des femmes. À Yo - Aimez-vous être dressée par des femmes ? En quoi sont-elles différentes des hommes ? - Jusqu'à présent, je n'ai pas du tout aimé ; les dominatrices que j'ai rencontrées n'ont pas su créer suffisamment d'intimité avec moi ? Pour me dominer, il faut d'abord s'approcher de moi, et cette étape a été oubliée dans les expériences que j'ai vécues. D'autre part, j'ai des résistances personnelles : j'ai du mal à imaginer qu'une femme puisse me dominer, donc je suis sur mes gardes, un peu fermée, prête à griffer au premier faux pas ! À Gaël - Que ressentez-vous lorsque Yo se plie à vos jeux ? - Jouer, c'est pour moi une immense preuve d'amour réciproque. Je suis fasciné par le don total qui habite Yo à ce moment-là. J'ai l'impression qu'elle m'offre tout, son corps bien sûr, mais également son indépendance, sa volonté. J'ai parfois l'impression qu'elle se laisserait mourir dans mes mains plutôt que de se révolter ; je deviens le maître de sa vie, de son corps, de son âme : sous un bâillon, entravée par une corde qui met son corps en valeur, zébrée par mon fouet, elle reste digne et à mon entière disposition ; c'est une dimension sacrée, à mes yeux… Un clitoris annelé, un téton percé, un anus dilaté, me font bien plus bander qu'un vagin à besogner dans une position routinière. À Gaël - Vous aimez jouer avec l'attente, pourquoi ? - Le mystère décuple souvent son plaisir. Nous fixons une date, elle fantasme pendant plusieurs jours, à la recherche du moindre indice : à Paris, ailleurs, l'après-midi ou le soir ; Gaël téléphone-t-il beaucoup ? Elle m'interroge “mine de rien” ; son appréhension monte… Bref, l'attente est un piment. À Yo - Que ressentez-vous quand Gaël vous demande d'embrasser les chaussures d'un homme ? - Ce n'est pas n'importe quel homme, c'est Maître Patrick. C'est un ami de Gaël : ils associent leur créativité et leurs talents de domination pour me dresser ; ils forment un duo plutôt génial ! Quand Gaël me demande d'embrasser les chaussures de Maître Patrick, je ressens de la chaleur : ce rituel m'indique que nous y sommes, que nous allons commencer. J'ai besoin de ces points de repère sécuritaires avant de me laisser aller. À Gaël - Vous imposez une série de règles à Yo lors de ses rencontres, pourquoi ? - Nous nous connaissons depuis quinze ans, déjà, et nous travaillons ensemble. Les rituels nous servent à définir un cadre. On joue ce soir, mais demain nous serons au bureau ensemble, dans un autre style de relation. Alors les rites nous servent de sas : s'habiller de cuir, passer un collier de chaîne, des menottes parfois, savoir que nous aurons toute la nuit pour nous retrouver dans la tendresse et l'échange lorsque l'épreuve sera terminée, sont des éléments qui nous sécurisent et nous aident à aller toujours plus loin… À Gaël - Vous attachez une forte importance à la jouissance de Yo dans vos jeux. - Oui, je connais certains maîtres qui interdisent le plaisir à leur esclave. J'ai la passion inverse. Un jour, je voudrais la voir se pâmer d'un orgasme qui ne s'arrêterait plus… Pendant un orgasme de Yo - allongée sur une table et les yeux bandés -, un homme s'est retiré, un autre l'a pénétrée sans qu'elle s'aperçoive du changement de partenaire ! La morsure d'une cravache, par exemple, donne un vertige où souffrance et plaisir sont intimement liés, pour elle comme pour moi. Dans cet univers, nul ne sait comment le déplaisir se transforme en volupté. À Yo - Vous appréciez les mots crus. Certains mots sont-ils plus excitants que d'autres ? - Les mots de la sexualité sont très importants pour moi, mais le contexte dans lequel ils sont dits, le ton avec lequel ils sont prononcés sont essentiels. Le même mot pourra m'exciter ou me mettre en colère. Gaël et Patrick m'obligent à prononcer des phrases telles que “ je suis une chienne ”. Au départ, j'ai honte, ils jouent avec mon trouble, jusqu'à ce que je parvienne à retrouver ma fierté. À Gaël - La tendresse et les caresses peuvent-elles provoquer les mêmes sensations que les mots crus ? - Ce qui me fascine, ce sont les contrastes. La lumière n'est belle que parce que nous connaissons l'ombre… Quand Yo s'effondre comme une petite fille et, à la recherche de protection, vient me téter les seins ou le sexe, moi son dominateur qui lui a fait vivre des moments difficiles, alors oui, j'ai le cœur qui fond de tendresse… À Yo - Que ressentez-vous lorsque vous êtes pénétrée par dix-neuf inconnus ? - Je garde un souvenir très fort de cette séance. Je me souviens du contact de Gaël et Patrick qui me tiennent, les jambes écartées sur la table ; leur contact et leurs voix sont mes seuls repères. J'éprouve un crescendo de sensations et de sentiments : • une envie forte de montrer à mes Maîtres comme je leur suis soumise, • un plaisir de me montrer à tous ces hommes dont, les yeux bandés, je perçois le désir, • un étonnement de la différence de contact et de pénétration entre un homme et un autre, puis, assez vite, une ivresse ; je ne sais plus où je suis, je suis un trou qui palpite, je jouis, je pète les plombs… À Yo - Vous évoquez souvent votre fierté dans la soumission. - C'est mon fil conducteur dans nos jeux ; ce sentiment de fierté m'aide à repérer si ce qui se passe est juste pour moi, il me permet d'aller très loin. Je déteste les photos ou les textes de soumises humiliées, aux yeux ternes. Ma soumission est noble : quand je m'exhibe à la demande de mon Maître, par exemple, j'ai l'impression qu'en me dépassant, je lui offre un cadeau, et j'en suis fière. Je le sens dans ma posture, dans mon corps ; lorsque mes yeux ne sont pas masqués, on les voit briller ! À Gaël - Entre vous et Yo, l'amour va de pair avec une complicité, une amitié et un rapport presque fraternel… - Nous avons une solidarité d'explorateur ; nous partons ensemble pour des terres inconnues, défrichons le continent de nos fantasmes, sommes parfois émerveillés, parfois terrorisés, de ce que nous y découvrons. Mais jamais, au grand jamais, cette complicité n'a été ébranlée. Nous avons tous, enfouis dans notre cerveau, des sentiments mélangés d'amour et de haine, pour l'autre sexe. De ritualiser cette agressivité, de la mettre en scène, de constater que Yo peut l'accueillir, et même en tirer de la jouissance, est une expérience merveilleuse pour moi. Il y a tellement de couples qui vivent cette agressivité autour de la vaisselle ou du ménage… je préfère nos jeux… Cela vaut bien des années de divan de psy ; allons, Messieurs les psychanalystes, à vos cravaches ! À Yo - Vous avez besoin du regard des autres sur votre corps ? Quelles sont vos pensées quand des inconnus vous voient nue, attachée, dressée ? - Je ne sais pas si c'est un besoin, mais c'est une grande source d'excitation. Dans ce domaine aussi, j'ai besoin d'une sécurité : j'ai demandé à Gaël d'arrêter tout jeu où il ne trouverait pas de beauté. Son regard, sur moi et sur nos scènes, est essentiel. Dans les moments forts de dressage, par exemple lorsque je suis attachée à une poutre et fouettée, ou lorsque Gaël me fait prendre des postures obscènes, je ne pense aux spectateurs que si Gaël m'en parle, ou me demande de les imaginer. Dans ces moments intenses, ma pensée et ma volonté lui appartiennent, il me semble. Il ne me reste que mes sensations, une multitude de sensations. À Gaël - Vous avez besoin du regard des autres sur le corps de Yo ? - J'aime exhiber ma soumise, je me délecte du trouble que je vois naître dans le regard des hommes lorsque je la domine. Leur caractère se révèle : certains sont des profiteurs, heureux de “tirer un coup vite fait”, et je les éloigne dès que possible ; mais d'autres se révèlent de véritables acteurs et nous improvisons, modifions la séance selon nos désirs du moment. C'est parfois une véritable “Commedia dell'arte”. Dans “Enjeux d’amour”, nous parlons beaucoup de Patrick. C'est un homme étonnant qui a aménagé une cave dans Paris, pleine de magnifiques objets de domination. Il passe son temps à inventer de nouvelles machines, fabriquer des carcans, des vibromasseurs, etc. Il domine les femmes qui lui en font la demande. Il m'est toujours précieux dans l'organisation et le déroulement de nos jeux. Je lui dis : il me faudrait cinq hommes la semaine prochaine, ou un grand appartement pour un banquet où nous mangerons sur le corps de Yo - ah, les fraises à la crème sur clitoris ! - et cela se réalise… Merci à toi, Patrick… À Yo - Le bandeau est-il un accessoire indispensable ? - Avoir les yeux bandés est quasi indispensable pour moi. Le bandeau s'impose quand Maître Patrick est là, car depuis que nous le rencontrons, je ne l'ai jamais vu. Une relation si forte et si intime sans le regard, c'est une découverte ! Avec Gaël, le masque m'aide à lâcher prise ; c'est comme si, en me le mettant, il me disait : “ je prends les rênes ” et que moi, en l'acceptant, je répondais “ OK ”. Gaël m'a parfois laissé les yeux ouverts pour me dresser ; c'est une expérience différente, et beaucoup plus difficile pour moi ; je contacte une tension plutôt qu'un lâcher prise, mon Maître me semble plus dur, moins proche de l'intimité, et je ressens souvent une forte agressivité à la fin de la séance. À Yo - Gaël vous a fait tatouer. Quelle est la signification de ce tatouage ? Avez-vous déjà regretté cette marque indélébile ? - Ce tatouage est le signe visible de nos jeux, et du lien particulier qui m'unit à Gaël. Il aime souvent dire que c'est lui qui est installé là, à quelques centimètres de mon sexe ! J'ai mis très, très longtemps à me décider, car Gaël attendait mon accord pour cet acte - il m'avait même demandé un accord écrit, pour que je ne me décide pas dans un moment d'impulsivité, au milieu d'une séance -. J'ai pesé le pour et le contre, j'ai observé toutes mes peurs… mais depuis que je suis tatouée, je ne l'ai pas regretté une seule seconde… Je crois que ce long temps pour mûrir ma décision y est pour quelque chose. À Yo - Avez-vous déjà essayé de dresser Gaël ? Quels souvenirs conservez-vous de ces expériences ? - C'est tout un art, la domination… Je pense que j'ai des capacités… et des envies ! Mais ce ne serait pas facile pour moi de dresser Gaël maintenant. Au début de notre relation, je tenais à la symétrie : tu me dresses, je te dresse… Ce n'est plus juste maintenant, je suis avec lui dans le pôle de la soumission. Dans 10 ans peut-être, je le dominerai à nouveau ! En attendant, j'aimerais dominer un homme, ou peut-être encore plus une femme… Avis aux amatrices ! À Gaël - Pourriez-vous être le soumis de Yo si elle vous le demandait ? - Au début, nous l'étions chacun notre tour. Elle m'a ainsi emmené à Pigalle les yeux bandés, fait rencontrer une femme inconnue, etc. Puis peu à peu, nous nous sommes spécialisés chacun dans une polarité. J'ai encore besoin d'entraîner Yo plus loin, nous avons encore mille situations à explorer, ma boîte à fantasmes est encore chargée de trésors. Je deviendrai peut-être plus tard son soumis, mais je ne suis pas certain de posséder sa capacité à lâcher prise totalement. À Gaël - Quel est votre jeu le plus réussi ? - Dans notre livre nous en avons raconté une quinzaine… Certains ont été écrits par Yo seule, d'autres par moi ; quant aux meilleurs jeux, nous les avons racontés chacun à notre manière, en deux chapitres pour bien montrer notre différence de sensibilité. Un de mes plus beaux jours est celui de son infibulation ; un anneau sur le capuchon du clitoris. Où et comment une femme pourrait-elle mieux porter une alliance ? À Yo - Quel jeu vous a le plus stimulée ? - J'ai l'embarras du choix ! Il y a ce soir où je me suis retrouvée dans un appartement luxueux à Paris, où j'ai dansé un strip-tease pour des hommes, dont un pianiste qui jouait si bien… et où je suis ensuite devenue leur dessert… Je sens encore sur moi ces langues, ces dents, ces bouches voulant attraper les fraises et lécher le jus. À Yo - Est-ce que vos jeux vous ont permis de mieux connaître votre corps et ses zones érogènes ? des désirs et des pulsions enfouies en vous ? - J'ai découvert que cette sacrée recherche de normalité - jouir en même temps, avoir des relations symétriques, etc. - aurait pu éteindre ma sexualité. Je revendique une sexualité a-normale ! Hors des normes, il y a tellement de place, ma seule limite étant de rencontrer des adultes consentants. Je remercie celui qui, dans un jeu, a pénétré mon anus et me l'a fait découvrir : sans lui, je serai restée une “rare-à-jouir”. À Yo - Quelles doivent être les qualités d'un bon Maître ? - Qu'il soit : • dur et doux en même temps. • écoutant et intraitable. • puissant et respectueux. Qu'il soit suffisamment sûr de lui pour n'avoir rien à prouver. Et que, s'il domine des femmes, il les aime, à sa façon ; je veux dire qu'il y ait de l'amour dans la relation, même si l'on y trouve également bien d'autres sentiments… À Gaël - Quelles doivent être les qualités d'une bonne soumise ? - De la créativité, et encore de la créativité… Chacune des scènes pourrait être sordide ; il n'y a qu'un pas, du sublime au “crade”… L'abattage, le fouet, le bondage, les bougies, les objets qui ouvrent et dilatent, ne me font vibrer que parce que Yo les magnifie. Suspendue par les pieds, une flûte de champagne dans le vagin, elle est belle, et moi je ne connais pas de meilleure façon de déguster un grand cru champenois. À Gaël - Beaucoup d'hommes vont fantasmer sur Yo en découvrant vos récits ; qu'aimeriez-vous dire à ces hommes ? - Le premier conseil serait d'oser… Avant de connaître Yo, j'avais proposé ces aventures à d'autres filles… Elles ont toutes accepté, excitées par des scénarios, plus softs à l'époque. Chacun d'entre nous possède une vie fantasmatique, parfois en sommeil, mais qui ne demande qu'à s'incarner. J'adorerais créer un hôtel à fantasmes ; des hommes ou des femmes nous demanderaient : “ j'aimerais que vous m'organisiez telle ou telle situation : faire l'amour avec une compagnie de pompiers, être tripotée dans les toilettes d'un avion, téléphoner à mon patron avec une secrétaire sous mon bureau ”. Nous prendrions rendez-vous pour la semaine suivante. Et moi, voyeur comme je suis, j'y trouverais bien mon plaisir… À Yo et à Gaël - Que pensez-vous des règles établies par la société en matière de sexualité ? - Nous approuvons les règles qui interdisent les relations sexuelles avec des mineurs ou avec des adultes non consentants. En dehors de cela, nous assistons à un retour du puritanisme qui nous inquiète. La répression de la sexualité fait que l'agressivité s'exprime par d'autres chemins qui nous semblent plus dangereux. À Gaël - Est-ce que votre amour pourrait se passer de tous ces jeux ? - Nos jeux sont une forme de communication, un échange intime ; je ne me sens jamais aussi proche, aussi nu qu'à ces moments-là. Ils sont le meilleur antidote contre l'ennui et la routine. Alors, pourquoi s'en priver ? Ils ont rendu Yo plus belle ; un exemple : l'admiration que j'ai pour ses seins, les commentaires élogieux de nos comparses, les cordes et les pinces qui les ont meurtris, lui donnent un port de reine qu'elle n'avait pas autrefois. À Yo et à Gaël - Votre livre est une exhibition, un nouveau jeu, un aboutissement de vos jeux, ou bien simplement un témoignage d'amour ? - Notre livre est né de nos séances. Au début, Yo avait besoin d'écrire : écrire pour “encrer” ses sensations, écrire pour pouvoir nous lire. Ensuite est venu le plaisir des mots. Puis, chez tous les deux, l'envie d'écrire pour d'autres, pour partager notre trouble, pour dire que c'est possible et beau. Morceaux choisis. Extrait d’un récit de Yo : “Nous entrons dans une cabine prévue pour visionner des films pornos ; sous ton œil allumé, je passe ce slip, un peu troublée... Je n’ose pas me regarder, je me contente de fixer tes yeux, tu m’ordonnes de bouger, lentement, de me cambrer pour que se dresse ce sexe noir, puis de toucher le cuir ; peu à peu, mes mouvements se font plus lascifs, comme si je me dégelais ! C’est alors que l’on frappe à la porte de la cabine, et toi, tranquillement, tu ouvres et invites cet homme à entrer, tu lui demandes ce qu’il pense de l’essayage : “ Est-ce la bonne taille ? ” Et à moi : “ Tourne-toi, que Monsieur voie aussi le dos ! ” Le vendeur, après quelques minutes d’apprivoisement, semble tout à fait à son aise, et bientôt, vous êtes deux à me faire tourner, bouger les fesses, avancer cet énorme sexe qui peu à peu devient le mien ! Et moi, j’entre dans la danse, ma peur a cédé le pas à l’excitation et à l’envie de vous faire baver de désir ; je continue, j’anticipe tes suggestions, en suivant le baromètre de tes yeux ; dans le pantalon du vendeur, j’aperçois un autre baromètre qui m’inquiète...” Extrait d’un récit de Gaël : “Tu es maintenant nue, au milieu d’une foule d’hommes habillés. J’ai des images de métro aux heures de pointe et je ris tout seul. Je fais écarter les “voyageurs”, te demande de te mettre à genoux et d’avancer. Lorsque tu heurtes des jambes, Patrick te parle et tu reconnais instantanément sa voix chaude. Instant magique, où tous sentent qu’ils se passent quelque chose : tu te prosternes à ses pieds et lui lèche les chaussures, comme à chacune de nos rencontres. Les voyeurs sont silencieux, attentifs, respectueux maintenant de nos rites. Ils réalisent maintenant que tu es une vraie soumise, qu’ils n’ont pas à se précipiter pour oser quelques attouchements avant que tu ne te sauves. Ils sentent la force de tes liens, entre toi et moi, entre Patrick, toi et moi. Ils retiennent leur souffle, dans l’attente d’un jeu torride. Quelques braguettes s’ouvrent, quelques hommes se masturbent devant toi, prosternée au pied de Patrick ; moi, je te flatte l’échine en t’appelant “ ma petite chienne adorée ”. Je te caresse la croupe ; tu es trempée. J’adresse un clin d’œil à Patrick ; il comprend qu’il peut aborder la suite : “ Madame, vous allez être mise à l’abattage... ” Tu frémis ; ta peau s’est comme hérissée. Les hommes te regardent ; eux aussi ont compris la scène. Un silence s’installe.” Ce livre écrit par une Française soumise et par son Maître est livré en 48 heures (jours ouvrables) par la boutique de ZAZA laboutiquedezaza.fr la célèbre boutique fétichiste en Bretagne. Vous pouvez aussi venir acheter ce livre écrit par une femme française soumise et par son Maître dans notre très discrète boutique sadomasochiste à Nantes près de la gare. 140 pages.

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