Laurence séduit sa Maîtresse androgyne, Marie-Agnès, pour la conduire au supplice. “L’évangile d’Éros” est un des plus beaux livres jamais écrits sur les rapports de domination extrême entre jeunes femmes. Dans ce texte aux forts accents sadiens, aux confins de l’excès, Florence Dugas, après son récit autobiographique “Dolorosa Soror”, continue son exploration des zones troubles de l’âme. On adore. Voici un extrait : “C’est Florence la première qui m’a inondée d’urine sous la douche. La première aussi qui m’en a fait boire. En quelques mois je suis devenue une sorte de chevalier du taste-urine. Celle du matin, très colorée, chargée de tous les sels patiemment filtrés toute la nuit, bourgogne du matin. Longue en bouche... Celle des jours d’été où l’on boit beaucoup - un vin clairet, qui a à peine transité par le corps, d’un jaune pâle, l’entre-deux-mers des pisses. Celle des soirées de cinéma ou de théâtre (combien de fois, juste au sortir d’un film, il lui est arrivé de m’entraîner dans l’ombre d’une porte cochère, et de s’y soulager dans ma bouche), pleine d’émotions, arrière-goût de fruits rouges, comme on dit dans les guides - un saumur-champigny peut-être.” Second morceau choisi : “Je secoue la tête, et elle l’attache à sa taille, créature soudainement dotée d’une ambiguïté toute païenne - satyre au sexe ambigu. Je sais les coups terribles qu’elle peut porter avec cet olisbos synthétique. J’en frémis pour André.
Brièvement elle va à la cuisine. Quand elle revient, l’objet est tout luisant d’huile.
Il la regarde, et il en frémit aussi.
- Non ! crie-t-il. Non...
Elle est juste au-dessus de lui, et la perspective doit lui faire trouver l’objet plus impressionnant encore qu’il n’est.
Elle se penche et pose le bourrelet de latex entre les fesses contractées. Soudain elle pèse, et le gland imposant se fore un passage.
Il crie, bien sûr, que pourrait-il faire d’autre, et puis rapidement il ne crie plus, les yeux clos, renversé par la sensation, quand ce soc improvisé lui laboure la prostate. Est-il possible que le fait d’aimer ça lui soit une absolue surprise ? Je me penche sur lui et je l’embrasse, délicatement, sur les lèvres - mais dès qu’il sent le contact, sa bouche s’ouvre et sa langue cherche la mienne - je ne la refuse pas.
Penchée au-dessus de lui, je ne le touche que par la bouche, mais je ressens pleinement les secousses terribles dont Florence lui déchire le cul.
Deux ou trois fois déjà elle m’a sodomisée avec cette violence (alors que ses mains, lorsqu’elle en use, sont toujours pleines de lenteur et de douceur), comme si elle voulait m’atteindre le cœur.
Regarde, dit-elle, il rebande.
C’est vrai : un projet d’érection se dessine, là-bas.
André a eu une sorte d’orgasme sec, mais bien réel, et à présent sa queue qui s’était reguindée un instant s’apaise. Florence donne encore quelques coups de reins, pour bien l’ouvrir, et se retire lentement.
Nous le contemplons toutes deux. Son front est contracté comme par une grande douleur, ses lèvres serrées. Son anus reste béant, et haletant, et semble appeler d’autres intromissions encore plus vigoureuses.
- Détache-le, me dit Florence.
Bon sang, elle a drôlement serré. Les lanières se sont incrustées dans la peau des poignets et des chevilles.” Dernier morceau choisi : "Alors je la couchais à plat ventre, ses fesses modelées par l’effort et l’appréhension, creuses comme les miennes, son dos soulevé en vagues de muscles, et les mêmes deltoïdes - plaisanterie ! Je la tenais par la nuque, comme ils me tenaient, la veille, ou quelques heures auparavant, et je lui forçais les reins, aussi profondément qu’on avait forcé les miens - elle criait aussi fort que moi j’avais gémi, elle essayait de ne pas fuir ma queue, parce qu’elle m’aime, dit-elle, et moi j’allais chercher l’ultime bout du bout, les fesses tendues contre les poils rêches qui me raclaient le cul - défoncé absolument, et anxieux chaque jour de trouver une queue plus longue et plus rugueuse. La course à la bite, c’est encore le meilleur moyen de refuser l’amour. Se persuader que l’on ne quête que des calibres, et pas des sentiments. Horreur des sentiments. Mensonges.
Marie-Agnès - pauvre petit chaton endolori ! Et puis sa bouche dilatée, ses joues qui se creusaient, en me suçant, comme ses fesses étaient creusées par les séances de musculation - et ses efforts méritoires pour ne pas vomir, quand je lui faisais avaler les paquets de merde glanés sous le bourrelet du gland... Elle gardait le sperme dans sa bouche longtemps avant de l’avaler, pour le diluer un peu avec de la salive, le rendre moins crémeux-collant... Elle a alors des mouvements pénibles de la glotte qui me donnent envie de la gifler.
Très vite j’ai cherché comment l’humilier. Je complotais avec des copains qui nous surprenaient, par hasard, dans les salles de gym. Toujours elle voulait se dégager - et je la tenais - tu sais à quel point je suis fort - la main sur la nuque, empalée - ils se mettaient en demi-cercle autour de nous et commentaient, très techniques, appréciaient la façon dont je la défonçais, critiquaient cette manière qu’elle a parfois de tricher, en suçant, et de laisser glisser la queue dans la joue - le visage curieusement asymétrique - parce qu’elle n’arrive pas à se décider à la prendre à fond de gosier. Elle te racontera, peut-être. Amour, ton nom est dérision.” Un livre puissant. Ce livre avec une femme soumise par une autre femme est livré en 48 heures (jours ouvrables) par la boutique de ZAZA laboutiquedezaza.fr la célèbre boutique sadomasochiste en Bretagne. Vous pouvez aussi venir acheter ce livre avec une femme qui domine une autre femme dans notre très discret sex-shop sadomasochiste à Nantes près de la gare. Ce livre est une édition originale aujourd'hui épuisée dont le prix est justifié par sa rareté. 236 pages.
|